COVID UPDATE : Quelle est la vérité ?

Bien que cet article soit un article dit en accès libre distribué selon les termes de la licence Creative Commons Attribution-Non Commercial-Share Alike 4.0 (qui permet à d’autres de remixer, de transformer et de s’appuyer sur l’œuvre à des fins non commerciales, à condition que l’auteur soit crédité et que les nouvelles créations soient soumises à une licence identique), Expressis-Verbis a demandé à l’auteur Russell L. Blaylock, neurochirurgien à la retraite, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis, la permission de publier et de traduire son article exhaustif sur notre site Web. Il a d’abord été publié par Scientific Scholar au nom de Surgical Neurology International. Nous sommes très reconnaissants de la réaction ouverte et extrêmement aimable de Russell et de l’autorisation de mettre sa publication à la disposition de notre lectorat luxembourgeois et européen. En effet, Expressis-Verbis a effectué, comme d’habitude, la traduction en allemand et en français.

L’équipe Expressis-Verbis

La pandémie de COVID-19 est l’un des événements liés aux maladies infectieuses les plus manipulés de l’histoire, caractérisé par des mensonges officiels dans un flux incessant mené par les bureaucraties gouvernementales, les associations médicales, les commissions médicales, les médias et les agences internationales. Nous avons été témoins d’une longue liste d’intrusions sans précédent dans la pratique médicale, y compris des attaques contre des experts médicaux, la destruction de carrières médicales parmi les médecins refusant de participer au meurtre de leurs patients et une réglementation massive des soins de santé, dirigée par des personnes non qualifiées disposant d’une richesse, d’un pouvoir et d’une influence énormes.

Pour la première fois dans l’histoire des États-Unis, un président, des gouverneurs, des maires, des administrateurs d’hôpitaux et des bureaucrates fédéraux déterminent les traitements médicaux non pas sur la base d’informations précises fondées sur la science ou même sur l’expérience, mais plutôt pour forcer l’acceptation de formes spéciales de soins et de « prévention » – y compris le Remdesivir, l’utilisation de respirateurs et, finalement, une série de vaccins à ARN messager essentiellement non testés. Pour la première fois dans l’histoire des traitements médicaux, les protocoles ne sont pas formulés sur la base de l’expérience des médecins qui traitent avec succès le plus grand nombre de patients, mais plutôt sur celle d’individus et de bureaucraties qui n’ont jamais traité un seul patient — notamment Anthony Fauci, Bill Gates, EcoHealth Alliance, le CDC, l’OMS, les responsables de la santé publique des États et les administrateurs d’hôpitaux [23,38].

Les médias (télévision, journaux, magazines, etc.), les sociétés médicales, les commissions médicales d’État et les propriétaires de médias sociaux se sont désignés comme la seule source d’information concernant cette soi-disant « pandémie ». Des sites Web ont été supprimés, des médecins cliniciens et des experts scientifiques hautement qualifiés et expérimentés dans le domaine des maladies infectieuses ont été diabolisés, des carrières ont été détruites et toute information divergente a été qualifiée de « désinformation » et de « mensonges dangereux », même lorsqu’elle provenait d’experts de haut niveau dans les domaines de la virologie, des maladies infectieuses, des soins intensifs pulmonaires et de l’épidémiologie. Ces occultations de la vérité se produisent même lorsque ces informations sont étayées par de nombreuses citations scientifiques provenant de certains des spécialistes médicaux les plus qualifiés au monde[23]. Il est incroyable de voir que, même des personnes comme le Dr Michael Yeadon, ancien scientifique en chef à la retraite et vice-président de la division scientifique de la société pharmaceutique Pfizer au Royaume-Uni, qui a accusé la société de fabriquer un vaccin extrêmement dangereux, sont ignorées et diabolisées. De plus, il a déclaré, avec d’autres scientifiques hautement qualifiés, que personne ne devrait prendre ce vaccin.

Le Dr Peter McCullough, l’un des experts les plus cités dans son domaine, qui a traité avec succès plus de 2000 patients atteints du Covid-19 grâce à un protocole de traitement précoce (que les prétendus experts ont complètement ignoré), a été victime d’une attaque particulièrement vicieuse par ceux qui bénéficient financièrement des vaccins. Il a publié ses résultats dans des revues à comité de lecture, faisant état d’une réduction de 80 % des hospitalisations et de 75 % des décès grâce à un traitement précoce[44]. Malgré cela, il fait l’objet d’une série d’attaques incessantes de la part des contrôleurs de l’information, dont aucun n’a traité un seul patient.

Ni Anthony Fauci, ni le CDC, ni l’OMS, ni aucun établissement médical gouvernemental n’ont jamais proposé de traitement précoce autre que le Tylenol, l’hydratation et l’appel d’une ambulance dès que vous avez des difficultés à respirer. C’est sans précédent dans toute l’histoire des soins médicaux, car le traitement précoce des infections est essentiel pour sauver des vies et prévenir les complications graves. Non seulement ces organisations médicales et ces chiens de garde du gouvernement fédéral, mais cette situation relève, en outre, qu’ils n’ont même pas suggéré un traitement précoce, mais qu’ils ont attaqué quiconque tentait d’initier un tel traitement avec toutes les armes à leur disposition — perte de licence, retrait des privilèges hospitaliers, honte, destruction de la réputation et même arrestation[2].

Un excellent exemple de cet outrage à la liberté d’expression et à la fourniture d’informations pour le consentement éclairé est la récente suspension par le conseil médical du Maine de la licence médicale du Dr Meryl Nass et l’ordre de se soumette à une évaluation psychiatrique pour avoir prescrit de l’Ivermectine et partagé son expertise dans ce domaine[9,65]. Ses références scientifiques sont impeccables. Ce comportement d’un conseil de l’ordre des médecins rappelle la méthodologie du KGB soviétique à l’époque où les dissidents étaient incarcérés dans des goulags psychiatriques pour faire taire leur dissidence.

Autres attaques inédites

Une autre tactique sans précédent consiste à écarter les médecins dissidents de leurs postes de rédacteurs et de réviseurs de revues et à rétracter leurs articles scientifiques des revues, même après que ces articles ont été imprimés. Jusqu’à cette pandémie, je n’avais jamais vu autant d’articles de journaux être retirés — la grande majorité d’entre eux promouvant des alternatives au dogme officiel, en particulier si les articles remettent en question la sécurité des vaccins. Normalement, un article ou une étude soumis sont examinés par des experts du domaine, ce que l’on appelle l’examen par les pairs. Ces révisions peuvent être assez intenses et pointilleuses dans les détails, insistant pour que toutes les erreurs contenues dans l’article soient corrigées avant la publication. Ainsi, à moins qu’une fraude ou un autre problème majeur caché ne soit découvert après la publication de l’article, il reste dans la littérature scientifique.

Nous assistons aujourd’hui à un nombre croissant d’excellents articles scientifiques, rédigés par les meilleurs experts du domaine, rétractés des principales revues médicales et scientifiques des semaines, des mois, voire des années après leur publication. Un examen attentif indique que, dans de trop nombreux cas, les auteurs ont osé remettre en question le dogme accepté par les contrôleurs des publications scientifiques, notamment en ce qui concerne la sécurité, les traitements alternatifs ou l’efficacité des vaccins [12,63]. Dans plusieurs cas, de puissantes sociétés pharmaceutiques ont exercé leur influence sur les propriétaires de ces revues pour qu’ils suppriment les articles qui remettaient en cause de quelque manière que ce soit les produits de ces sociétés[13,34,35].

Pire encore, est la conception d’articles médicaux pour la promotion de médicaments et de produits pharmaceutiques qui impliquent de fausses études, ce que l’on appelle des articles fantômes.[49,64] Richard Horton est cité par le Guardian comme ayant déclaré que « les revues sont devenues des opérations de blanchiment d’informations pour l’industrie pharmaceutique »[13,63] Des articles frauduleux « fantômes » parrainés par des géants pharmaceutiques sont régulièrement publiés dans des revues cliniques de premier plan, telles que le JAMA et le New England Journal of Medicine, et ne sont jamais retirés malgré les abus scientifiques et les manipulations de données avérées[49,63].

Les articles écrits par des fantômes impliquent le recours à des sociétés de planification dont le travail consiste à concevoir des articles contenant des données manipulées pour soutenir un produit pharmaceutique, puis à faire accepter ces articles par des revues cliniques à fort impact, c’est-à-dire les revues les plus susceptibles d’influencer les décisions cliniques des médecins. En outre, elles fournissent aux médecins en pratique clinique des réimpressions gratuites de ces articles manipulés. Le Guardian a trouvé 250 sociétés engagées dans cette activité d’écriture fantôme. L’étape finale de la conception de ces articles destinés à être publiés dans les revues les plus prestigieuses consiste à recruter des experts médicaux reconnus, issus d’institutions prestigieuses, pour qu’ils ajoutent leur nom à ces articles. Ces auteurs médicaux recrutés sont soit payés lorsqu’ils acceptent d’ajouter leur nom à ces articles pré-écrits, soit, ils le font pour le prestige d’avoir leur nom sur un article publié dans une revue médicale prestigieuse[11].

D’une importance vitale est l’observation faite par les experts du domaine de l’édition médicale que rien n’a été fait pour mettre fin à cet abus est d’une importance capitale. Les éthiciens médicaux ont déploré qu’en raison de cette pratique répandue, « on ne peut plus se fier à rien ». Alors que certaines revues insistent sur la divulgation d’informations, la plupart des médecins qui lisent ces articles ignorent ces informations ou les excusent. Plusieurs revues rendent la divulgation plus difficile en demandant au lecteur de trouver les déclarations de divulgation à un autre endroit. De nombreuses revues ne contrôlent pas ces déclarations, et les omissions des auteurs sont courantes et non punies (sans sanction).

Pour les informations mises à la disposition du public, la quasi-totalité des médias est sous le contrôle de ces géants pharmaceutiques ou d’autres qui profitent de cette « pandémie ». Leurs histoires sont toutes identiques, tant dans leur contenu que dans leur formulation. Des dissimulations orchestrées se produisent au quotidien et des données massives exposant les mensonges générés par ces contrôleurs de l’information sont cachées au public. Toutes les données diffusées par les médias nationaux (télévision, journaux et magazines), ainsi que les informations locales que vous regardez au quotidien, proviennent exclusivement de sources « officielles » — dont la plupart sont des mensonges, des déformations ou des fabrications de toutes pièces — toutes destinées à tromper le public.

Les médias télévisés reçoivent la majeure partie de leur budget publicitaire des groupes pharmaceutiques internationaux, ce qui exerce une influence irrésistible sur la couverture de toutes les études falsifiées à l’appui de leurs vaccins et autres prétendus traitements.[14] Rien qu’en 2020, les industries pharmaceutiques ont dépensé 6,56 milliards de dollars pour ce type de publicité.[13,14]. La publicité télévisée des Pharma s’est élevée à 4,58 milliards, soit un incroyable 75 % de leur budget. Ce marketing est désormais l’une des solutions les plus efficaces pour avoir beaucoup d’influence et de contrôle sur les médias.  Des experts de renommée mondiale dans tous les domaines des maladies infectieuses sont exclus de l’exposition aux médias et des médias sociaux s’ils s’écartent de quelque manière que ce soit des mensonges et des distorsions concoctés par les fabricants de ces vaccins. En outre, ces sociétés pharmaceutiques dépensent des dizaines de millions en publicité sur les médias sociaux, Pfizer étant en tête avec 55 millions USD en 2020[14].

Si ces attaques contre la liberté d’expression sont assez terrifiantes, le contrôle quasi universel exercé par les administrateurs hospitaliers sur les détails des soins médicaux dans les hôpitaux est encore pire. Ces mercenaires indiquent désormais aux médecins les protocoles de traitement qu’ils doivent respecter et les traitements qu’ils ne doivent pas utiliser, quelle que soit la nocivité des traitements « approuvés » ou les avantages des traitements « non approuvés »[33,57].

Jamais, dans l’histoire de la médecine américaine, les administrateurs d’un hôpital n’ont dicté à ses médecins la manière dont ils allaient pratiquer la médecine et les médicaments qu’ils pouvaient utiliser. Le CDC n’a aucune autorité pour dicter aux hôpitaux ou aux médecins des traitements médicaux. Pourtant, la plupart des médecins ont obtempéré sans la moindre résistance.

La loi fédérale sur les soins a encouragé ce désastre humain en offrant à tous les hôpitaux américains jusqu’à 39 000 dollars pour chaque patient des soins intensifs qu’ils ont mis sous respirateur, malgré le fait qu’il était évident dès le début que les respirateurs étaient une cause majeure de décès chez ces patients confiants et sans méfiance. En outre, les hôpitaux recevaient 12 000 dollars pour chaque patient admis en soins intensifs – ce qui explique, à mon avis et à celui d’autres personnes, pourquoi toutes les bureaucraties médicales fédérales (CDC, FDA, NIAID, NIH, etc.) ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour empêcher les traitements précoces susceptibles de sauver des vies.[46] Lorsque l’état des patients se dégrade au point de nécessiter une hospitalisation, cela représente beaucoup d’argent pour tous les hôpitaux. Un nombre croissant d’hôpitaux sont en danger de faillite, et beaucoup ont fermé leurs portes, même avant cette « pandémie »[50]. La plupart de ces hôpitaux appartiennent désormais à des sociétés nationales ou internationales, y compris des hôpitaux universitaires[10].

Il est également intéressant de noter qu’avec l’arrivée de cette « pandémie », nous avons assisté à une hausse du nombre de chaînes d’hôpitaux rachetant des hôpitaux financièrement à risque[1,54]. Il a été noté que des milliards de dollars d’aide fédérale Covid-19 sont utilisés par ces géants hospitaliers pour acquérir ces hôpitaux financièrement en danger, augmentant encore le pouvoir de la médecine d’entreprise sur l’indépendance des médecins. Les médecins expulsés de leurs hôpitaux peinent à trouver d’autres équipes hospitalières à rejoindre, car elles peuvent aussi appartenir au même géant hospitalier. Par conséquent, les politiques de mandat de vaccination concernent un nombre beaucoup plus important d’employés hospitaliers. Par exemple, la Mayo Clinic a licencié 700 employés pour avoir exercé leur droit de refuser un vaccin expérimental dangereux et surtout non testé.[51,57] La Mayo Clinic a agi de la sorte, même si nombre de ces employés ont travaillé pendant la pire phase de l’épidémie et sont maintenant licenciés, bien que le variant Omicron soit la souche virale prédominante, qu’il ait la pathogénicité d’un rhume pour la plupart et que les vaccins soient inefficaces pour prévenir l’infection.

En outre, il a été prouvé que la personne vaccinée asymptomatique présente un titre nasopharyngé du virus aussi élevé qu’une personne infectée non vaccinée. Si l’objectif du mandat de vaccination est de prévenir la propagation du virus parmi le personnel hospitalier et les patients, alors ce sont les vaccinés qui présentent le plus grand risque de transmission, et non les non-vaccinés. La différence est qu’une personne malade non vaccinée n’irait pas travailler, tandis que le propagateur vacciné asymptomatique le fera.

Ce que nous savons, c’est que les grands centres médicaux, tels que la Mayo Clinic, reçoivent chaque année des dizaines de millions de dollars en subventions du NIH, ainsi que de l’argent des fabricants de ces « vaccins » expérimentaux. C’est, selon moi, le véritable raisonnement qui sous-tend cette politique. Si cela pouvait être prouvé devant un tribunal, les administrateurs qui établissent ces mandats devraient être poursuivis dans toute la mesure de la loi et poursuivis par toutes les parties lésées.

Le problème de la faillite des hôpitaux est devenu de plus en plus aigu en raison des mandats de vaccination imposés par les hôpitaux et du grand nombre de membres du personnel hospitalier, en particulier les infirmières, qui refusent d’être vaccinés de force[17,51]. Tout ceci est sans précédent dans l’histoire des soins médicaux. Les médecins au sein des hôpitaux sont responsables du traitement de leurs patients individuels et travaillent directement avec ces patients et leurs familles pour initier ces traitements. Les organisations externes telles que le CDC ne sont pas autorisées à intervenir dans ces traitements et, si elles le font, elles exposent les patients à de graves erreurs de la part d’une organisation qui n’a jamais traité un seul patient Covid-19.

Lorsque cette pandémie a commencé, les hôpitaux ont reçu l’ordre du CDC de suivre un protocole de traitement qui a entraîné la mort de centaines de milliers de patients, dont la plupart se seraient rétablis si des traitements appropriés avaient été autorisés[43,44]. La majorité de ces décès auraient pu être évités si les médecins avaient été autorisés à utiliser un traitement précoce avec des produits tels que l’ivermectine, l’hydroxychloroquine et un certain nombre d’autres médicaments et composés naturels sûrs. Sur la base des résultats obtenus par les médecins qui ont traité avec succès la plupart des patients atteints de la Covid-19, on estime que sur les 800 000 personnes dont on nous dit qu’elles sont mortes de la Covid-19, 640 000 auraient non seulement pu être sauvées, mais auraient pu, dans de nombreux cas, retrouver leur état de santé d’avant l’infection si un traitement précoce obligatoire avec ces méthodes éprouvées avait été utilisé. Cette négligence du traitement précoce constitue un meurtre de masse. Cela signifie que 160 000 personnes seraient effectivement mortes, soit bien moins que le nombre de personnes qui ont succombé aux mains des bureaucraties, des associations médicales et des commissions médicales qui ont refusé de défendre leurs patients. Selon des études portant sur le traitement précoce de milliers de patients par des médecins courageux et attentionnés, soixante-quinze à quatre-vingts pour cent des décès auraient pu être évités[43,44].

Il est incroyable de voir que ces médecins compétents aient été empêchés de sauver ces personnes infectées par la Covid-19. La profession médicale devrait être embarrassée par le fait que tant de médecins ont suivi sans réfléchir les protocoles mortels établis par les contrôleurs de la médecine.

Il faut également garder à l’esprit que cet événement n’a jamais satisfait aux critères d’une pandémie. L’Organisation mondiale de la Santé a modifié les critères pour en faire une pandémie. Pour obtenir le statut de pandémie, le virus doit avoir un taux de mortalité élevé pour la grande majorité des personnes, ce qui n’était pas le cas (avec un taux de survie de 99,98 %), et il ne doit avoir aucun traitement existant connu – ce qui, pourtant, était le cas de ce virus — en fait, un nombre croissant de traitements très efficaces.

Les mesures draconiennes mises en place pour contenir cette « pandémie » artificielle n’ont jamais fait la preuve de leur efficacité, comme le masquage du public, le confinement et la distanciation sociale. Une multitude d’études soigneusement menées au cours des saisons de grippe précédentes ont démontré que les masques, quels qu’ils soient, n’avaient jamais empêché la propagation du virus au sein du public[60].

En réalité, de très bonnes études ont suggéré que les masques propageaient plutôt le virus en donnant aux gens un faux sentiment de sécurité et d’autres facteurs. Comme l’observation que les gens enfreignaient constamment la technique stérile en touchant leur masque, en le retirant incorrectement et en laissant s’échapper des aérosols infectieux sur les bords du masque. En outre, les masques étaient jetés dans des parkings, des sentiers de randonnée, posés sur les tables des restaurants et placés dans les poches et les sacs à main.

Quelques minutes après avoir mis le masque, une multitude de bactéries pathogènes peuvent être cultivées à partir des masques, ce qui expose les personnes immunodéprimées à un risque élevé de pneumonie bactérienne et les enfants à un risque plus élevé de méningite[16]. Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Floride a permis de cultiver plus de 11 bactéries pathogènes à l’intérieur du masque porté par les enfants dans les écoles[40].

On savait également que les enfants ne couraient pratiquement aucun risque de tomber malade à cause du virus ou de le transmettre.

En outre, on savait que le port d’un masque pendant plus de 4 heures (comme c’est le cas dans toutes les écoles) entraîne une hypoxie (faible taux d’oxygène dans le sang) et une hypercapnie (taux de CO₂ élevé) importantes, qui ont une multitude d’effets délétères sur la santé, notamment une altération du développement du cerveau de l’enfant [4,72,52].

Nous savons que le développement du cerveau se poursuit bien après les années d’école primaire. Une étude récente a révélé que les enfants nés pendant la « pandémie » ont un QI nettement inférieur — mais les commissions scolaires, les directeurs d’école et autres bureaucrates de l’éducation ne s’en préoccupent manifestement pas[18].

Les outils de l’endoctrinement

Les concepteurs de cette pandémie ont prévu que le public réagirait et que des questions embarrassantes seraient posées. Pour éviter cela, les contrôleurs ont alimenté les médias d’un certain nombre de tactiques, dont l’une des plus courantes était et reste l’arnaque de la « vérification des faits ». À chaque confrontation avec des preuves soigneusement documentées, les « fact-checkers » des médias répliquaient par l’accusation de « désinformation », et une accusation infondée de « théorie de la conspiration » qui était, dans leur lexique, « démystifiée ». On ne nous a jamais dit qui étaient les vérificateurs de faits ou la source de leurs informations « déboulonnées » – nous devions simplement croire les « vérificateurs de faits ». Un récent procès a établi sous serment que les « fact-checkers » de Facebook utilisaient l’opinion de leur propre personnel et non de véritables experts pour vérifier les « faits »[59]. Lorsque les sources sont, en réalité, révélées, il s’agit invariablement des CDC, de l’OMS ou d’Anthony Fauci, corrompus ou juste de leur propre opinion. Voici une liste de choses qualifiées de « mythes » et de « désinformation » et qui se sont avérées par la suite.

  • Les vaccinés asymptomatiques propagent le virus de la même manière que les infectés symptomatiques non vaccinés.
  • Les vaccins ne peuvent pas protéger adéquatement contre les nouveaux variants, telles que Delta et Omicron.
  • L’immunité naturelle est de loin supérieure à l’immunité vaccinale et elle est très probablement permanente.
  • Non seulement l’immunité vaccinale s’affaiblit après plusieurs mois, mais toutes les cellules immunitaires sont affaiblies pendant des périodes prolongées, ce qui expose les personnes vaccinées à un risque élevé de toutes les infections et de cancer.
  • Les vaccins COVID-19 peuvent provoquer une incidence significative de caillots sanguins et d’autres effets secondaires graves.
  • Les partisans du vaccin exigeront de nombreux rappels à mesure que chaque variant apparaîtra sur la scène.
  • Fauci insistera sur le vaccin COVID-19 pour les petits enfants et même les bébés.
  • Les passeports vaccinaux seront exigés pour entrer dans une entreprise, prendre l’avion et utiliser les transports publics
  • Il y aura des camps d’internement pour les personnes non vaccinées (comme en Australie, en Autriche et au Canada).
  • Les personnes non vaccinées se verront refuser un emploi.
  • Il existe des accords secrets entre le gouvernement, les institutions élitistes et les fabricants de vaccins.
  • De nombreux hôpitaux étaient vides ou avaient un faible taux d’occupation pendant la pandémie.
  • La protéine de pointe du vaccin pénètre dans le noyau de la cellule, altérant la fonction de réparation de l’ADN cellulaire.
  • Des centaines de milliers de personnes ont été tuées par les vaccins, et beaucoup d’autres ont subi des dommages permanents.
  • Un traitement précoce aurait pu sauver la vie de la plupart des 700 000 personnes qui sont mortes.
  • La myocardite induite par le vaccin (refusée initialement) est un problème important et ne disparaît pas aussitôt.
  • Des lots spéciaux mortels de ces vaccins sont mélangés à la masse des autres vaccins Covid-19.

Plusieurs de ces affirmations des opposants à ces vaccins figurent aujourd’hui sur le site Internet des CDC, la plupart étant encore qualifiées de « mythes ». Aujourd’hui, de nombreuses preuves ont confirmé que chacun de ces soi-disant « mythes » était, en fait, vrai. Beaucoup sont même admis par le « saint des vaccins », Anthony Fauci. Par exemple, on nous a dit, même à notre président atteint de troubles cognitifs, qu’une fois le vaccin mis sur le marché, toutes les personnes vaccinées pouvaient retirer leur masque. Oups ! On nous a dit peu après que les personnes vaccinées avaient des concentrations élevées (titres) du virus dans leur nez et leur bouche (nasopharynx) et qu’elles pouvaient transmettre le virus aux personnes avec lesquelles elles entraient en contact, en particulier les membres de leur propre famille. Les masques sont de nouveau de rigueur – en fait, le double masquage est recommandé. On sait maintenant que les vaccinés sont les principaux transmetteurs du virus. Les hôpitaux sont remplis de malades vaccinés et de personnes souffrant de graves complications liées au vaccin [27,42,45].

Une autre tactique des partisans de la vaccination consiste à diaboliser ceux qui refusent d’être vaccinés pour diverses raisons. Les médias qualifient ces personnes à l’esprit critique d' »anti-vaccins », de « négateurs des vaccins », de « résistants aux vaccins », de « meurtriers », d' »ennemis du bien commun » et de ceux qui prolongent la pandémie. J’ai été consterné par les attaques vicieuses, souvent sans cœur, de certaines personnes sur les médias sociaux lorsqu’un parent ou un proche raconte l’histoire des terribles souffrances, voire de la mort, que lui ou son proche aient subi à cause des vaccins. Certains psychopathes tweetent qu’ils se réjouissent que l’être cher soit mort, ou que la personne vaccinée décédée était un ennemi du bien pour avoir raconté l’événement et devrait être bannie. C’est difficile à conceptualiser. Ce niveau de cruauté est terrifiant et signifie l’effondrement d’une société morale, décente et compatissante.

Il est déjà assez grave que le public tombe aussi bas. Cependant, les médias, les dirigeants politiques, les administrateurs d’hôpitaux, les associations médicales et les commissions d’agrément des médecins agissent de la même manière, de manière moralement dysfonctionnelle et cruelle.

La logique, le raisonnement et les preuves scientifiques ont disparu dans cet événement.

Les preuves scientifiques, les études soigneusement menées, l’expérience clinique et la logique médicale ont-elles eu un quelconque effet sur l’arrêt de ces vaccins inefficaces et dangereux ? Absolument pas ! Les efforts draconiens pour vacciner tous les habitants de la planète se poursuivent (sauf l’élite, les postiers, les membres du Congrès et autres initiés) [31,62].

Dans le cas de tous les autres médicaments et vaccins conventionnels antérieurs examinés par la FDA, le décès inexpliqué de 50 personnes ou moins entraînerait l’arrêt de la distribution du produit, comme ce fut le cas en 1976 avec le vaccin contre la grippe porcine. Avec plus de 18 000 décès signalés par le système VAERS pour la période du 14 décembre 2020 au 31 décembre 2021, ainsi que 139 126 blessures graves (y compris des décès) pour la même période, il n’y a toujours aucun intérêt à arrêter ce programme de vaccins mortels[61]. Pire encore, aucune agence gouvernementale n’a mené d’enquête sérieuse pour déterminer pourquoi ces personnes meurent et sont gravement et durablement affectées par ces vaccins.[15,67]. Ce que nous voyons, c’est une série continue de dissimulations et de subterfuges de la part des fabricants de vaccins et de leurs promoteurs.

La guerre contre les médicaments et les composés naturels réadaptés, efficaces, bon marché et très sûrs, qui ont prouvé sans l’ombre d’un doute qu’ils ont sauvé des millions de vies dans le monde entier, a non seulement continué, mais s’est intensifiée [32,34,43].

On dit aux médecins qu’ils ne peuvent pas fournir ces composés vitaux à leurs patients et que s’ils le font, ils seront retirés de l’hôpital, se verront retirer leur licence médicale ou seront punis de bien d’autres manières. Une myriade de pharmacies ont refusé d’exécuter des ordonnances pour l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine, malgré le fait que des millions de personnes ont pris ces médicaments en toute sécurité pendant plus de 60 ans dans le cas de l’hydroxychloroquine et des décennies pour l’Ivermectin [33,36]. Ce refus de remplir des ordonnances est sans précédent et a été mis en place par ceux qui veulent empêcher les traitements alternatifs afin de protéger la distribution de vaccins pour tous. Plusieurs entreprises qui fabriquent l’hydroxychloroquine ont accepté de vider leurs stocks de ce médicament en les donnant au Strategic National Stockpile, ce qui rend ce médicament beaucoup plus difficile à obtenir[33] Pourquoi le gouvernement ferait-il cela alors que plus de 30 études bien faites ont montré que ce médicament réduisait les décès de 66 % à 92 % dans d’autres pays, comme l’Inde, l’Égypte, l’Argentine, la France, le Nigeria, l’Espagne, le Pérou, le Mexique, etc.

Les détracteurs de ces deux médicaments qui sauvent des vies sont le plus souvent financés par Bill Gates et Anthony Fauci, qui gagnent tous deux des millions grâce à ces vaccins [48,15].

Afin d’empêcher davantage l’utilisation de ces médicaments, l’industrie pharmaceutique et Bill Gates/Anthony Fauci ont financé de fausses recherches pour démontrer que l’hydroxychloroquine était un médicament dangereux et pouvait endommager le cœur[34]. Pour établir ce dossier frauduleux, les chercheurs ont administré aux patients les plus malades de la Covid-19 une dose presque mortelle du médicament, une dose bien plus élevée que celle utilisée sur n’importe quel patient de la Covid-19 par le Dr Kory, McCullough et d’autres « vrais » médecins compatissants, des médecins qui traitaient réellement les patients de la Covid-19[23].

Les médias à l’image de toutous contrôlés ont bien sûr martelé le public avec des histoires sur les effets mortels de l’hydroxychloroquine, le tout avec un regard terrifié de fausse panique. Toutes ces histoires sur les dangers de l’ivermectine se sont révélées incorrectes et certaines d’entre elles étaient incroyablement grotesques[37,43].

L’attaque contre l’ivermectine a été encore plus vicieuse que celle contre l’hydroxychloroquine. Tout ceci, et bien d’autres choses encore, est méticuleusement relaté dans l’excellent nouveau livre de Robert Kennedy Jr., The Real Anthony Fauci. Bill Gates, Big Pharma, and the Global War on Democracy and Public Health.[32] Si vous êtes vraiment concernés par la vérité et par tout ce qui s’est passé depuis le début de cette atrocité, vous devez non seulement lire, mais étudier ce livre avec attention. Il est entièrement référencé et couvre tous les sujets dans les moindres détails. Il s’agit d’une tragédie humaine conçue aux proportions bibliques par certains des psychopathes les plus vils et sans cœur de l’histoire.

Des millions de personnes ont été délibérément tuées et estropiées, non seulement par ce virus fabriqué, mais également par le vaccin lui-même et par les mesures draconiennes utilisées par ces gouvernements pour « contrôler la propagation de la pandémie ». Nous ne devons pas ignorer les « morts par désespoir » provoquées par ces mesures draconiennes, qui peuvent dépasser des centaines de milliers. Des millions de personnes sont mortes de faim dans les pays du tiers-monde à cause de ces mesures. Rien qu’aux États-Unis, sur les 800 000 morts revendiqués par les bureaucraties médicales, plus de 600 000 de ces décès sont le résultat de la négligence délibérée des traitements précoces, du blocage de l’utilisation de médicaments réadaptés très efficaces et très sûrs, comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, et de l’utilisation forcée de traitements mortels comme le Remdesivir et l’utilisation de ventilateurs. Cela ne prend pas en compte les décès dus au désespoir et à la négligence des soins médicaux causés par les mesures de verrouillage et d’hospitalisation imposées aux systèmes de santé.

Pour couronner le tout, en raison du mandat de vaccination imposé à l’ensemble du personnel hospitalier, des milliers d’infirmières et d’autres travailleurs hospitaliers ont démissionné ou ont été licenciés [17,30,51], ce qui a entraîné une pénurie critique de ces travailleurs de la santé essentiels et une réduction dangereuse des lits de soins intensifs dans de nombreux hôpitaux. En outre, comme cela s’est produit dans le Lewis County Healthcare System, un système hospitalier spécialisé de Lowville, dans l’État de New York, a fermé son unité de maternité suite à la démission de 30 membres du personnel hospitalier en raison des ordres désastreux de l’État concernant le mandat de vaccination. L’ironie de tous ces cas de démissions est que les administrateurs ont accepté sans hésiter ces pertes massives de personnel, malgré leurs récriminations sur le manque de personnel en période de « crise ». Cette situation est particulièrement déroutante lorsque l’on apprend que les vaccins n’ont pas empêché la transmission virale et que la variante prédominante actuelle est extrêmement peu pathogène.

Les dangers des vaccins sont de plus en plus révélés par la science

Alors que la plupart des chercheurs, virologues, chercheurs en maladies infectieuses et épidémiologistes ont été intimidés et contraints au silence, un nombre croissant de personnes d’une grande intégrité et d’une grande expertise se sont manifestées pour dire la vérité, à savoir que ces vaccins sont mortels.

La plupart des nouveaux vaccins doivent subir des tests de sécurité approfondis pendant des années avant d’être approuvés. Les nouvelles technologies, telles que les vaccins à ARNm et à ADN, nécessitent un minimum de 10 ans de tests minutieux et de suivi intensif. Ces nouveaux prétendus vaccins n’ont été « testés » que durant deux mois, puis les résultats de ces tests de sécurité ont été et continuent d’être tenus secrets. Le témoignage devant le sénateur Ron Johnson de plusieurs personnes ayant participé à l’étude de deux mois indique que pratiquement aucun suivi des participants à l’étude préalable à la mise sur le marché n’a jamais été effectué[67]. Les plaintes relatives à des complications ont été ignorées et, malgré les promesses de Pfizer selon lesquelles toutes les dépenses médicales causées par les « vaccins » seraient payées par Pfizer, ces personnes ont déclaré qu’aucune n’a été payée[66].

Pour illustrer la tromperie de Pfizer et des autres fabricants de vaccins à ARNm, citons le cas de Maddie de Garay, 12 ans, qui a participé à l’étude de sécurité préalable à la mise sur le marché du vaccin de Pfizer. Lors de la présentation du sénateur Johnson aux familles des victimes du vaccin, sa mère a raconté les crises récurrentes de son enfant, qui est maintenant confinée dans un fauteuil roulant, doit être alimentée par sonde et souffre de lésions cérébrales permanentes. Sur l’évaluation de sécurité de Pfizer soumise à la FDA, son seul effet secondaire est répertorié comme étant un « mal de ventre ». Chaque personne a soumis des histoires horribles similaires.

Les Japonais ont intenté un procès selon la loi sur la liberté de l’information (FOIA) pour obliger Pfizer à publier son étude secrète sur la biodistribution. La raison pour laquelle Pfizer voulait que cette étude reste secrète est qu’elle démontre que Pfizer a menti au public et aux organismes de réglementation sur le sort du contenu du vaccin injecté (l’ARNm enfermé dans un support nano-lipidique). L’entreprise a prétendu que le vaccin était resté sur le site d’injection (l’épaule), alors que sa propre étude a montré qu’il s’était aussitôt propagé dans tout le corps par la circulation sanguine en 48 heures.

L’étude a également révélé que ces nanoporteurs lipidiques mortels s’accumulaient en impressionnantes concentrations dans plusieurs organes, notamment les organes reproducteurs des hommes et des femmes, le cœur, le foie, la moelle osseuse et la rate (un organe immunitaire majeur). La concentration la plus élevée se trouvait dans les ovaires et la moelle osseuse. Ces nanoporteurs lipidiques se sont par ailleurs déposés dans le cerveau.

Le Dr Ryan Cole, pathologiste de l’Idaho, a fait état d’un pic spectaculaire de cancers hautement agressifs chez les personnes vaccinées (non rapporté par les médias). Il a constaté une incidence effrayante de cancers hautement agressifs chez les personnes vaccinées, en particulier des mélanomes hautement invasifs chez les jeunes et des cancers de l’utérus chez les femmes.[26] D’autres rapports d’activation de cancers précédemment contrôlés apparaissent également chez des patients vaccinés contre le cancer.[47] Jusqu’à présent, aucune étude n’a été réalisée pour confirmer ces rapports, mais il est peu probable que de telles études soient réalisées, du moins des études financées par des subventions du NIH.

La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les ovaires dans l’étude de biodistribution pourrait parfaitement nuire à la fertilité des jeunes femmes, altérer leurs menstruations et leur faire courir un risque accru de cancer de l’ovaire. La forte concentration dans la moelle osseuse pourrait également exposer les vaccinés à un risque élevé de leucémie et de lymphome. Le risque de leucémie est très inquiétant maintenant que l’on a commencé à vacciner les enfants dès l’âge de cinq ans. Aucune étude à long terme n’a été menée par aucun de ces fabricants de vaccins Covid-19, notamment concernant le risque d’induction de cancer. L’inflammation chronique est intimement liée à l’induction, la croissance et l’invasion du cancer, et les vaccins stimulent l’inflammation.

On dit aux patients atteints de cancer qu’ils devraient se faire vacciner avec ces vaccins mortels. À mon avis, c’est insensé. Des études plus récentes ont montré que ce type de vaccin insère la protéine spike dans le noyau des cellules immunitaires (et très probablement dans de nombreux types de cellules) et qu’une fois là, il inhibe deux enzymes très importantes de réparation de l’ADN, BRCA1 et 53BP1, dont le rôle est de réparer les dommages causés à l’ADN de la cellule[29].

Il existe une maladie héréditaire appelée xeroderma pigmentosum dans laquelle les enzymes de réparation de l’ADN sont défectueuses. Ces personnes malchanceuses développent de multiples cancers de la peau et une incidence très élevée de cancers des organes. Nous avons ici un vaccin qui fait pareil, mais à un degré moindre.

L’une des enzymes de réparation défectueuses causées par ces vaccins est appelée BRCA1, associée à une incidence significativement plus élevée de cancer du sein chez les femmes et de cancer de la prostate chez les hommes. Il convient de noter qu’aucune étude n’a jamais été réalisée sur plusieurs aspects critiques de ce type de vaccin.

  • Ils n’ont jamais été testés pour leurs effets à long terme
  • Ils n’ont jamais été testés pour l’induction de l’auto-immunité.
  • Ils n’ont jamais été testés correctement pour leur sécurité à n’importe quel stade de la grossesse.
  • Aucune étude de suivi n’a été réalisée sur les bébés des femmes vaccinées.
  • Il n’existe pas d’études à long terme sur les enfants de femmes enceintes vaccinées après leur naissance (en particulier en cas d’apparition d’étapes du développement neurologique).
  • Ses effets sur une longue liste d’affections n’ont jamais été testés :
    • Diabète
    • Maladies cardiaques
    • Athérosclérose
    • Maladies neurodégénératives
    • Effets neuropsychiatriques
    • Induction des troubles du spectre autistique et de la schizophrénie
    • Fonction immunitaire à long terme
    • Transmission verticale de défauts et de troubles – Cancer
    • Troubles auto-immuns

L’expérience acquise jusqu’à présent avec les vaccins antigrippaux montre clairement que les études de sécurité menées par des chercheurs et des médecins cliniciens liés à des entreprises pharmaceutiques étaient pratiquement toutes soit mal faites, soit délibérément conçues pour donner une fausse image de la sécurité et dissimuler les effets secondaires et les complications. Ce fut démontré de façon spectaculaire avec les études bidon mentionnées précédemment, conçues pour indiquer que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine étaient inefficaces et trop dangereuses à utiliser [34,36,37]. Ces fausses études ont entraîné des millions de décès et de graves désastres sanitaires dans le monde entier. Comme indiqué, 80 % de tous les décès étaient inutiles et auraient pu être évités grâce à des médicaments peu coûteux, sûrs et réadaptés, ayant un très long historique de sécurité chez les millions de personnes qui les ont pris pendant des décennies, voire toute leur vie[43,44].

Il est plus qu’ironique que ceux qui prétendent être responsables de la protection de notre santé aient approuvé une série de vaccins mal testés qui ont provoqué plus de décès en moins d’un an d’utilisation que tous les autres vaccins combinés administrés au cours des 30 dernières années. Leur excuse, lorsqu’ils ont été confrontés à la question, était la suivante :  » nous avons dû négliger certaines mesures de sécurité parce qu’il s’agissait d’une pandémie mortelle « . [28,46]

En 1986, le président Reagan a signé le National Childhood Vaccine Injury Act, qui accordait une protection générale aux fabricants de vaccins contre les procès intentés par les familles de personnes blessées par un vaccin. La Cour suprême, dans un avis de 57 pages, s’est prononcée en faveur des fabricants de vaccins, permettant effectivement à ces derniers de fabriquer et de distribuer à la population des vaccins dangereux, souvent inefficaces, sans crainte de conséquences juridiques. La Cour a insisté sur un système d’indemnisation des vaccins qui n’a versé qu’un infime nombre de récompenses à un grand nombre de personnes gravement blessées. On sait qu’il est très difficile de recevoir ces indemnités. Selon la Health Resources and Services Administration, le Vaccine Injury Compensation Program (VICP) a versé, depuis 1988, 3 597 indemnités à 19 098 personnes ayant subi des dommages liés à la vaccination, ce qui représente un montant total de 3,8 milliards de dollars. C’était avant l’introduction des vaccins Covid-19, dont les décès à eux seuls dépassent tous les décès liés à tous les vaccins réunis sur une période de trente ans.

En 2018, le président Trump a promulgué la loi sur le « droit d’essayer », qui permet d’utiliser des médicaments expérimentaux et tous les traitements non conventionnels dans les cas de conditions médicales extrêmes. Comme nous l’avons vu avec le refus de nombreux hôpitaux et même le refus global des États d’autoriser l’ivermectine, l’hydroxychloroquine ou toute autre méthode  » officielle  » non approuvée pour traiter les cas de Covid-19, même en phase terminale, ces individus néfastes ont ignoré cette loi.

Curieusement, ils n’ont pas utilisé la même logique ou la même loi lorsqu’il s’est agi de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine, qui ont toutes deux fait l’objet de tests de sécurité approfondis dans le cadre de plus de 30 études cliniques de grande qualité et ont engendré des rapports élogieux sur leur efficacité et leur sécurité dans de nombreux pays. En outre, des millions de personnes dans le monde entier utilisaient ces médicaments depuis plus de 60 ans, avec un excellent bilan de sécurité. Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes, associé à des conglomérats pharmaceutiques, ne voulait pas que la pandémie ne cesse et souhaitait que les vaccins soient la seule option thérapeutique. Le livre de Kennedy défend cette thèse grâce à d’innombrables preuves et citations [14,32].

Le Dr James Thorpe, expert en médecine materno-fœtale, démontre que ces vaccins Covid-19 administrés pendant la grossesse ont entraîné une incidence de fausses couches 50 fois plus élevée que celle rapportée avec tous les autres vaccins combinés. [Lorsque nous examinons son graphique sur les malformations fœtales, nous constatons que l’incidence des malformations fœtales est 144 fois plus élevée avec les vaccins Covid-19 administrés durant la grossesse qu’avec tous les autres vaccins combinés. Pourtant, l’Académie américaine d’obstétrique et de gynécologie et le Collège américain d’obstétrique et de gynécologie approuvent la sécurité de ces vaccins à tous les stades de la grossesse et chez les femmes qui allaitent leur bébé.

Il convient de noter que ces groupes de spécialités médicales ont reçu des financements importants de la part de la société pharmaceutique Pfizer. L’American College of Obstetrics and Gynecology, rien qu’au 4ᵉ trimestre 2010, a reçu un total de 11 000 dollars de la seule société pharmaceutique Pfizer[70]. Les financements provenant des subventions des NIH sont beaucoup plus élevés[20]. La meilleure façon de perdre ces subventions est de critiquer la source des fonds, leurs produits ou leurs programmes favoris. Peter Duesberg, parce qu’il a osé remettre en question la théorie favorite de Fauci selon laquelle le SIDA est causé par le virus VIH, n’a plus reçu aucune des 30 demandes de subvention qu’il a soumises après avoir rendu l’affaire publique. Avant cet épisode, comme principale autorité mondiale en matière de rétrovirus, il n’avait jamais essuyé de refus pour une subvention des NIH[39]. Fonctionne ainsi le système « corrompu », même si une grande partie de l’argent des subventions provient de nos impôts.

Lots chauds — les lots mortels de vaccins

Un chercheur de l’université de Kingston, à Londres, a effectué une analyse approfondie des données VAERs (un sous-département du CDC qui collecte les données sur les complications volontaires des vaccins), dans laquelle il a regroupé les décès signalés suite à l’administration de vaccins en fonction des numéros de lots de vaccins du fabricant. Les vaccins sont fabriqués en grands volumes, appelés « lots ». Il a découvert que les vaccins sont divisés en plus de 20 000 lots et qu’un de ces 200 lots (lots) s’est avéré mortel pour toute personne recevant un vaccin de ce lot, ce qui représente des milliers de doses de vaccins.

Il a examiné tous les vaccins fabriqués : Pfizer, Moderna, Johnson and Johnson (Janssen), etc. Il a constaté que sur 200 lots de vaccins fabriqués par Pfizer et d’autres fabricants, un lot sur 200 s’est avéré plus de 50 fois plus mortel que les lots de vaccins des autres lots. Les autres lots de vaccins provoquaient également des décès et des handicaps, mais dans une proportion bien moindre. Ces lots mortels auraient dû apparaître au hasard parmi tous les « vaccins » s’il s’agissait d’un événement non intentionnel. Cependant, il a constaté que 5 % des vaccins étaient responsables de 90 % des événements indésirables graves, y compris des décès. L’incidence des décès et des complications graves parmi ces « lots chauds » variait de plus de mille à plusieurs milliers de pour cent de plus que les lots comparables plus sûrs. Si vous pensez que c’est un accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » ont été, à mon avis, délibérément fabriqués et envoyés dans tout le pays — d’habitude des vaccins destinés aux enfants. Dans l’un de ces scandales, des « lots chauds » d’un vaccin se sont retrouvés dans un seul État et les dommages sont aussitôt devenus évidents. Quelle a été la réponse du fabricant ? Ce n’était pas de retirer les lots mortels du vaccin. Il a ordonné à son entreprise de disperser les lots chauds dans tout le pays afin que les autorités ne voient pas l’effet mortel évident.

Tous les lots d’un vaccin sont numérotés — par exemple, Moderna les étiquettes avec des codes tels que 013M20A. On a remarqué que les numéros de lots se terminaient soit par 20A, soit par 21A. Les lots se terminant par 20A étaient beaucoup plus toxiques que ceux se terminant par 21A. Les lots se terminant par 20A présentaient environ 1700 événements indésirables, contre quelques centaines à vingt ou trente événements pour les lots 21A. Cet exemple explique pourquoi certaines personnes n’ont eu que peu ou sont sans effets indésirables après avoir reçu le vaccin, alors que d’autres ont été tuées ou ont subi de graves dommages permanents. Pour voir l’explication du chercheur, allez sur https://www.bitchute. com/video/6xIYPZBkydsu/ À mon avis, ces exemples suggèrent fortement une altération intentionnelle de la production du « vaccin » pour inclure des lots mortels.

J’ai rencontré et travaillé avec un certain nombre de personnes concernées par la sécurité des vaccins, et je peux vous dire qu’elles ne sont pas les méchants anti-vaxx que l’on vous dit. Ce sont des personnes qui ont des principes, une morale et une compassion très fortes, dont beaucoup sont des chercheurs de haut niveau ainsi que des personnes qui ont étudié le sujet de manière approfondie. Robert Kennedy Jr., Barbara Loe Fisher, Dr Meryl Nass, Professeur Christopher Shaw, Megan Redshaw, Dr Sherri Tenpenny, Dr Joseph Mercola, Neil Z. Miller, Dr Lucija Tomjinovic, Dr Stephanie Seneff, Steve Kirsch et Dr Peter McCullough, pour n’en citer que quelques-unes. Ces personnes n’ont rien à gagner et beaucoup à perdre. Elles sont attaqués vicieusement par les médias, les agences gouvernementales et l’élite des milliardaires qui pensent devoir contrôler le monde et tous ceux qui s’y trouvent.

Pourquoi Fauci ne voulait-il pas d’autopsie des personnes décédées après la vaccination ?

De nombreux éléments de cette « pandémie » sont sans précédent dans l’histoire de la médecine. L’un des plus surprenants est qu’au plus fort de la pandémie, si peu d’autopsies, en particulier des autopsies totales, étaient pratiquées. Un virus mystérieux se propageait sous peu dans le monde entier, un groupe sélectionné de personnes au système immunitaire affaibli tombait gravement malade et beaucoup mouraient, et la seule façon d’acquérir vite le plus de connaissances sur ce virus — une autopsie — était découragée.

Guerriero a noté qu’à la fin du mois d’avril 2020, environ 150 000 personnes étaient décédées, mais que seules 16 autopsies avaient été réalisées et rapportées dans la littérature médicale[24]. Parmi celles-ci, seules sept étaient des autopsies complètes, les neuf autres étant partielles ou réalisées par biopsie à l’aiguille ou par biopsie incisionnelle. Ce n’est qu’après 170 000 décès par Covid-19 et quatre mois après le début de la pandémie que la première série d’autopsies a été réellement effectuée, c’est-à-dire plus de dix. Ce n’est qu’à la suite de 280 000 décès et un mois de plus que les premières grandes séries d’autopsies ont été pratiquées, au nombre de 80 approximativement[22]. Sperhake, dans un appel à pratiquer des autopsies sans poser de questions, a noté que la première autopsie complète rapportée dans la littérature avec des photomicrographies est apparue dans un journal médico-légal de Chine en février 2020[41,68] Sperhake a exprimé sa confusion quant à la raison de la réticence à pratiquer des autopsies pendant la crise, mais il savait que cela ne venait pas de pathologistes. La littérature médicale était jonchée d’appels lancés par les pathologistes pour que davantage d’autopsies soient pratiquées.[58] Sperhake a également noté que l’Institut Robert Koch (le système allemand de surveillance de la santé) avait, au moins, dans un premier temps, déconseillé les autopsies. Il savait de plus qu’à l’époque, 200 institutions d’autopsie participantes aux États-Unis avaient effectué au moins 225 autopsies dans 14 États.

Certains ont prétendu que ce manque d’autopsies était fondé sur la crainte du gouvernement d’une infection parmi les pathologistes. Cependant, une étude de 225 autopsies sur des cas de Covid-19 n’a démontré qu’un seul cas d’infection parmi les pathologistes et il a été conclu qu’il s’agissait d’une infection contractée ailleurs.[19] Guerriero termine son article appelant à plus d’autopsies par cette observation : « Épaule contre épaule, les pathologistes cliniques et médico-légaux ont surmonté les obstacles des études d’autopsie des victimes de Covid-19 et ont ainsi généré des connaissances précieuses sur la physiopathologie de l’interaction entre le SRAS-CoV-2 et le corps humain, contribuant par conséquent à notre compréhension de la maladie. »[24]

La suspicion concernant la réticence mondiale des nations à autoriser des études post-mortem complètes sur les victimes de la Covid-19 peut reposer sur l’idée qu’il ne s’agit pas d’un hasard. Il y a au moins deux possibilités qui ressortent. Tout d’abord, ceux qui ont dirigé la progression de cet événement « non pandémique » vers une « pandémie mortelle » mondiale, cachaient un secret important que les autopsies pourraient documenter. À savoir, combien de décès étaient réellement causés par le virus ? Pour mettre en œuvre des mesures draconiennes, telles que le port obligatoire de masques, les fermetures, la destruction d’entreprises et, éventuellement, la vaccination obligatoire, il fallait un immense nombre de morts infectés par le virus Covid-19. La peur serait la force motrice de tous ces programmes destructeurs de contrôle de la pandémie.

Dans son étude, Elder et al. a classé les résultats de l’autopsie en quatre groupes[22].

  1. Mort certaine de la Covid-19
  2. Probablement mort de la Covid-19
  3. Décès possible de la Covid-19
  4. Non associé à Covid-19, malgré le test positif.

Ce qui a pu inquiéter ou même terrifier les ingénieurs de cette pandémie, c’est que les autopsies pourraient montrer et ont d’ailleurs montré, qu’une quantité définie de ces prétendus morts de la Covid-19 sont en réalité morts de leurs maladies comorbides. Dans la grande majorité des autopsies rapportées, les pathologistes ont noté de multiples comorbidités, dont la plupart, aux extrêmes de la vie, pouvaient à elles seules être fatales. Auparavant, on savait que les virus du rhume avaient un taux de mortalité de 8 % dans les maisons de retraite.

En outre, les autopsies auraient permis d’obtenir des preuves précieuses pour améliorer les traitements cliniques. Elles auraient éventuellement pu démontrer l’effet mortel des protocoles mandatés par le CDC que tous les hôpitaux étaient tenus de suivre, comme l’utilisation de respirateurs et du Remdesivir, un médicament mortel qui détruit les reins. Les autopsies ont également démontré l’accumulation d’erreurs médicales et la mauvaise qualité des soins. En effet, le fait que les médecins des unités de soins intensifs soient protégés des regards des membres de la famille conduit inévitablement à des soins de moins bonne qualité, comme l’ont rapporté plusieurs infirmières travaillant dans ces zones[53-55].

Aussi grave que cela puisse être, la même chose est faite dans le cas des décès liés au vaccin COVID-19 : très peu d’autopsies complètes ont été réalisées pour comprendre pourquoi ces personnes sont mortes, c’est-à-dire jusqu’à récemment. Deux chercheurs hautement qualifiés, le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste et expert hautement qualifié en matière de maladies infectieuses, et le Dr Arne Burkhardt, pathologiste qui fait autorité et a été professeur de pathologie dans plusieurs institutions prestigieuses, ont dernièrement pratiqué des autopsies sur 15 personnes décédées après avoir été vaccinées. Ce qu’ils ont découvert explique pourquoi tant de personnes meurent et subissent des lésions organiques et des caillots sanguins mortels[5].

Ils ont déterminé que 14 des quinze personnes étaient mortes à cause des vaccins et non d’autres causes. Le Dr Burkhardt, le pathologiste, a observé des preuves généralisées d’une attaque immunitaire sur les organes et les tissus des personnes autopsiées – en particulier leur cœur. Ces preuves comprenaient une invasion étendue des petits vaisseaux sanguins par un nombre massif de lymphocytes, qui provoquent une destruction cellulaire importante lorsqu’ils se déchaînent. D’autres organes, tels que les poumons et le foie, présentaient également des dommages graves. Ces résultats indiquent que les vaccins conduisaient l’organisme à s’attaquer à lui-même, avec des conséquences mortelles. On peut facilement comprendre pourquoi Anthony Fauci, ainsi que les responsables de la santé publique et tous ceux qui font la promotion de ces vaccins, ont publiquement découragé les autopsies sur les personnes vaccinées mortes par la suite. On peut par ailleurs voir que dans le cas de vaccins qui n’ont pratiquement pas été testés avant d’être approuvés pour le grand public, les organismes de réglementation auraient au moins dû être tenus de surveiller et d’analyser soigneusement toutes les complications graves, et certainement les décès, liés à ces vaccins. La meilleure façon de le faire est de pratiquer des autopsies complètes.

Ces autopsies nous ont permis d’obtenir des informations importantes. Cependant, ce qu’il faut vraiment, ce sont des études spéciales sur les tissus des personnes décédées après une vaccination, afin de détecter la présence d’une infiltration de protéines de pointe dans tous les organes et tissus. Il s’agirait d’une information essentielle, car une telle infiltration entraînerait de graves dommages à tous les tissus et organes concernés, en particulier le cœur, le cerveau et le système immunitaire. Les études sur les animaux l’ont démontré. Chez ces individus vaccinés, la source de ces protéines de pointe serait les nanolipides injectés porteurs de l’ARNm produisant la protéine de pointe. Effectivement, les autorités sanitaires gouvernementales et les fabricants pharmaceutiques de ces « vaccins » refusent que ces études critiques soient réalisées, car le public serait scandalisé et exigerait l’arrêt du programme de vaccination et la poursuite en justice des personnes impliquées qui ont couvert cette affaire.

CONCLUSIONS

Nous vivons tous l’un des changements les plus radicaux de notre culture, de notre système économique et de notre système politique dans l’histoire de notre nation et du reste du monde. On nous a dit que nous ne reviendrons jamais à la « normale » et qu’une grande réinitialisation a été conçue pour créer un « nouvel ordre mondial ». Tout fut décrit par Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, dans son livre sur la « Grande Réinitialisation »[66], qui donne un aperçu de la pensée des utopistes, fiers de revendiquer cette « crise » pandémique comme leur moyen d’inaugurer un nouveau monde. Ce nouvel ordre mondial est sur les planches à dessin des manipulateurs de l’élite depuis plus d’un siècle[73,74] Dans cet article, je me suis concentré sur les effets dévastateurs que cela a eu sur le système de soins médicaux aux États-Unis, mais également dans une grande partie du monde occidental. Dans des articles précédents, j’ai abordé la lente dégradation du système de soins médicaux traditionnels aux États-Unis ainsi que la bureaucratisation et la réglementation croissantes de ce système.[7,8] Ce processus s’accélérait sous peu, mais l’apparition de cette « pandémie », à mon avis fabriquée, a transformé notre système de soins de santé du jour au lendemain.

Comme vous l’avez constaté, une série d’événements sans précédent se sont produits au sein de ce système. Les administrateurs des hôpitaux, par exemple, ont pris la position de dictateurs médicaux, ordonnant aux médecins de suivre des protocoles dérivés non pas de ceux ayant une grande expérience du traitement de ce virus, mais plutôt d’une bureaucratie médicale qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19. L’utilisation obligatoire de respirateurs sur les patients atteints de Covid-19 en soins intensifs, par exemple, a été imposée dans tous les systèmes médicaux et les médecins dissidents ont été juste démis de leurs fonctions de soignants, malgré leur démonstration de méthodes de traitement nettement meilleures. En outre, on a dit aux médecins d’utiliser le médicament Remdesivir malgré sa toxicité avérée, son manque d’efficacité et son taux élevé de complications. On leur a dit d’utiliser des médicaments qui nuisent à la respiration et de masquer chaque patient, malgré l’altération de la respiration de ce dernier. Dans chaque cas, ceux qui refusaient de maltraiter leurs patients étaient renvoyés de l’hôpital et risquaient même de perdre leur licence – voire pire.

Pour la première fois dans l’histoire médicale moderne, le traitement médical précoce de ces patients infectés a été ignoré dans tout le pays. Des études ont montré qu’un traitement médical précoce permettait de sauver 80 % du nombre supérieur de ces personnes infectées lorsqu’il était initié par des médecins indépendants[43,44]. Un traitement précoce aurait pu sauver plus de 640 000 vies au cours de cette « pandémie ». Malgré la démonstration de la puissance de ces traitements précoces, les forces contrôlant les soins médicaux ont poursuivi cette politique destructrice.

Les familles n’étaient pas autorisées à voir leurs proches, obligeant ces personnes très malades dans les hôpitaux à faire face à leur mort seules. Pour aggraver la situation, les funérailles étaient limitées à quelques membres de la famille en deuil, qui n’étaient même pas autorisés à s’asseoir ensemble. Pendant ce temps, les grands magasins, tels que Walmart et Cosco, étaient autorisés à fonctionner avec un minimum de restrictions. Les patients des maisons de retraite ne sont pas non plus autorisés à recevoir la visite de leur famille, ce qui les condamne à périr seuls. Durant ce temps, dans une multitude d’États, le plus transparent étant l’État de New York, des personnes âgées infectées ont été délibérément transférées des hôpitaux vers les maisons de retraite, ce qui a entraîné un taux de mortalité très élevé chez ces résidents. Au début de cette « pandémie », plus de 50 % des décès survenaient dans des maisons de retraite.

Tout au long de cette « pandémie », nous avons été nourris d’une série ininterrompue de mensonges, de déformations et de désinformation par les médias, les responsables de la santé publique, les bureaucraties médicales (CDC, FDA et OMS) et les associations médicales. Les médecins, les scientifiques et les experts en maladies infectieuses qui se sont regroupés pour mettre au point des traitements plus efficaces et plus sûrs ont régulièrement été diabolisés, harcelés, embarrassés, humiliés et ont dû encaisser la perte de leur licence et de leurs privilèges hospitaliers, et dans au moins un cas, une évaluation psychiatrique a été ordonnée. [2,65,71].

Au cours de cet événement, Anthony Fauci s’est vu confier le contrôle quasi absolu de toutes les formes de soins médicaux et a notamment insisté pour que les médicaments dont il tirait profit soient utilisés par tous les médecins traitants. Il a ordonné l’utilisation de masques, bien qu’il se soit d’abord moqué de l’utilisation de masques pour filtrer un virus. Les gouverneurs, les maires et de nombreuses entreprises ont suivi ses ordres sans poser de questions.

Les mesures draconiennes utilisées, le masquage, le confinement, les tests sur les personnes non infectées, l’utilisation du test PCR imprécis, l’éloignement social et la recherche des contacts, se sont avérées peu ou pas utiles lors des pandémies précédentes, mais toutes les tentatives pour rejeter ces méthodes sont restées vaines. Certains États ont ignoré ces ordres draconiens et ont enregistré le même nombre de cas ou moins de cas, ainsi que de décès, que les États ayant appliqué les mesures les plus strictes. Encore une fois, aucune preuve ou démonstration évidente de ce genre n’a eu d’effet sur la fin de ces mesures socialement destructrices. Même lorsque des pays entiers, tels que la Suède, qui a évité toutes ces mesures, ont démontré des taux d’infection et d’hospitalisation égaux à ceux des nations ayant appliqué les mesures les plus strictes et les plus draconiennes, aucun changement de politique n’a été opéré par les institutions de contrôle. Aucune preuve n’a changé quoi que ce soit.

Les experts en psychologie des événements destructeurs, tels que les effondrements économiques, les catastrophes majeures et les pandémies précédentes, ont démontré que les mesures draconiennes ont un coût énorme sous la forme de « morts de désespoir » et d’une croissance spectaculaire des troubles psychologiques graves. Les effets de ces mesures pandémiques sur le développement neurologique des enfants sont catastrophiques et, dans une large mesure, irréversibles.

Au fil du temps, des dizaines de milliers de personnes pourraient mourir des suites de ces dommages. Même lorsque ces prédictions ont commencé d’apparaître, les contrôleurs de cette « pandémie » ont continué d’avancer à toute allure. La hausse drastique des suicides, l’augmentation de l’obésité, la hausse de la consommation de drogues et d’alcool, la détérioration de nombreuses mesures de santé et l’augmentation terrifiante des troubles psychiatriques, en particulier la dépression et l’anxiété, ont été ignorées par les responsables qui contrôlaient cet événement.

Nous avons finalement appris que de nombreux décès étaient dus à une négligence médicale. Les personnes souffrant de maladies chroniques, de diabète, de cancer, de maladies cardiovasculaires et de maladies neurologiques n’étaient plus suivies correctement dans leurs cliniques et cabinets médicaux. Les opérations chirurgicales non urgentes étaient mises en attente. Beaucoup de ces patients ont choisi de mourir chez eux plutôt que de risquer de se rendre dans les hôpitaux, et beaucoup les considéraient comme des « maisons de la mort ».

Les registres des décès ont montré qu’il y a eu une croissance des décès chez les personnes âgées de 75 ans et plus, surtout expliquée par les infections à la Covid-19. Cependant, pour les personnes âgées de 65 à 74 ans, les décès avaient augmenté bien avant le début de la pandémie. 69] Entre les âges de 18 et 65 ans, les registres montrent une hausse choquante des décès non liés à la Covid-19. Certains de ces décès s’expliquent par une hausse spectaculaire des décès liés à la drogue, quelque 20 000 de plus qu’en 2019. Les décès liés à l’alcool ont également augmenté de manière substantielle et les homicides ont crû de près de 30 % dans le groupe des 18 à 65 ans.

Le directeur de la compagnie d’assurance OneAmerica a déclaré que ses données indiquaient que le taux de mortalité des personnes âgées de 18 à 64 ans avait augmenté de 40 % par rapport à la période pré-pandémique[21]. Scott Davidson, le PDG de la compagnie, a déclaré que cela représentait le taux de mortalité le plus élevé de l’histoire des registres d’assurance, qui effectuent chaque année de vastes collectes de données sur les taux de mortalité. Davidson a également noté qu’une telle croissance du taux de mortalité n’avait jamais été observée dans l’histoire de la collecte de données sur les décès. Les catastrophes précédentes d’ampleur monumentale n’ont pas augmenté les taux de mortalité de plus de 10 %, 40 % est sans précédent.

Le Dr Lindsay Weaver, médecin-chef de l’Indiana, a déclaré que le nombre d’hospitalisations dans l’Indiana n’avait jamais été aussi élevé au cours des cinq dernières années. C’est d’une importance capitale, car les vaccins étaient censés réduire considérablement le nombre de décès, mais c’est le contraire qui s’est produit. Les hôpitaux sont submergés de complications liées aux vaccins et de personnes dans un état critique à cause de la négligence médicale causée par les fermetures et autres mesures de lutte contre la pandémie[46,56].

Un nombre dramatique de ces personnes sont maintenant en train de mourir, le pic ayant été atteint après l’introduction des vaccins. Les mensonges émanant de ceux qui se sont autoproclamés dictateurs médicaux sont sans fin. D’abord, on nous a dit que le confinement durerait uniquement deux semaines, ils ont duré plus d’un an. Ensuite, on nous a dit que les masques étaient inefficaces et qu’il n’était pas nécessaire de les porter. La situation s’est vite inversée. Puis, on nous a dit que le masque en tissu était très efficace, à présent il ne l’est plus et que tout le monde devrait porter un masque N95 et avant cela, qu’ils devraient porter un double masque. On nous a dit qu’il y avait une grave pénurie de respirateurs. Ensuite, nous avons découvert qu’ils restaient inutilisés dans des entrepôts et dans les décharges des villes, toujours dans leurs caisses d’emballage. On nous a dit que les hôpitaux étaient remplis surtout de personnes non vaccinées, puis nous avons découvert que c’était exactement le contraire dans le monde entier. On nous avait dit que le vaccin était efficace à 95 %, pour apprendre qu’en réalité les vaccins provoquent une dégradation progressive de l’immunité innée.

Lors de la mise sur le marché des vaccins, on a dit aux femmes que les vaccins étaient sûrs à tous les stades de la grossesse. Cependant, on a découvert qu’aucune étude n’avait été réalisée sur la sécurité pendant la grossesse lors des « tests de sécurité » précédant la mise sur le marché du vaccin. On nous a dit que des tests minutieux sur des volontaires avant l’autorisation de l’AEE pour l’usage public prouvaient l’extrême sécurité des vaccins, pour apprendre ensuite que ces malheureux volontaires n’ont pas été suivis, que les complications médicales causées par les vaccins n’ont pas été remboursées et que les médias ont dissimulé tout cela. [Nous avons également appris que les fabricants de vaccins avaient été informés par la FDA qu’il n’était pas nécessaire d’effectuer d’autres tests sur les animaux (le grand public serait le cobaye). Chose incroyable, on nous a dit que les nouveaux vaccins à ARNm de Pfizer avaient été approuvés par la FDA, ce qui était une tromperie astucieuse, car un autre vaccin avait été approuvé (Comirnaty) et non celui qui était utilisé, le vaccin BioNTech. Le vaccin Comirnaty approuvé n’était pas disponible aux États-Unis. Les médias nationaux ont dit au public que le vaccin Pfizer avait été approuvé et n’était plus classé comme expérimental, un mensonge flagrant. Ces mensonges mortels continuent. Il est temps de mettre fin à cette folie et de traduire ces personnes en justice.

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