Un moment historique pour le Grand-Duché de Luxembourg

Mercredi 12 janvier 2022 : des universitaires français de renommée internationale se sont rendus au Luxembourg pour soutenir les pétitionnaires des deux importantes pétitions de 1916 et 1950 : Professeur Christian Perronne, auteur de nombreux ouvrages sur lesquels plusieurs équipes d’avocats s’étaient penchées, cherchant (en vain) à trouver des erreurs. La Dr Alexandra Henrion-Claude et surtout le Dr Luc Montagnier, virologue de renommée internationale et prix Nobel, ont également honoré le Grand-Duché de leur présence.

Le professeur Perronne est professeur de médecine et médecin spécialiste des maladies tropicales à la clinique Raymond-Poincaré à Garches dans les Hauts-de-Seine. C’est l’auteur de six livres et de nombreux articles sur les maladies infectieuses. (Bibliographie)

La Dr Alexandra Henrion-Claude était chercheuse en éthique génétique à l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale). Si a joué un rôle important dans la découverte de l’ARN non codé et des maladies d’origine génétique. (Bibliographie)

Tous deux prennent d’ailleurs grand soin de souligner qu’ils ne sont exposés à aucun conflit d’intérêt et sont vivement diffamés et discrédités pour leur approche professionnelle des sujets actuels. En préambule, nous avons déjà évoqué les soi-disant « fact-checkers » et leur indépendance pas si indépendante que ça.

Avant de prendre sa retraite, le professeur Luc Montagnier était « directeur émérite » du CNRS et a reçu le prix Nobel de médecine en qualité de co-découvreur du virus VIH. Il a gagné d’innombrables distinctions et prix au cours de sa vie de scientifique. Il est également l’auteur de plusieurs livres et d’un nombre impressionnant d’articles scientifiques. (Bibliographie).

Un débat et des réactions

La présence de ces experts n’a pas plu à l’un ou l’autre politicien ni aux journalistes, si bien que les spécialistes renommés ont été déchirés, ici aussi, par des personnes qui n’ont aucune qualification dans leurs domaines de connaissance et de recherche.

Ils n’ont pas le droit de remettre en question, sur le cœur de leur expertise professionnelle, ce que les politiques, en collaboration avec les médias, nous proposent comme unique solution. Même maintenant, alors que les chiffres actuels confirment de plus en plus ces estimations.

Depuis maintenant deux ans, nous voyons donc de nos propres yeux comment les scientifiques les plus renommés et les plus qualifiés sont systématiquement détruits par la nouvelle « Cancel Culture ». La parole est systématiquement laissée à ceux qui – indépendamment de leurs qualifications et de leurs conflits d’intérêts – bénéficient d’une plus grande plateforme médiatique. Ces derniers jours, nous avons pu « admirer » directement plusieurs articles à ce sujet dans les médias.

La conclusion de notre ministre de la Santé « qu’aucune solution concrète n’a été présentée » mérite également d’être discutée :

1. il est en principe du devoir des politiques financés par l’argent de nos impôts de veiller à ce que les décisions politiques soient prises sur la base des meilleures informations disponibles. Toutefois, il n’appartient pas à la science ou à la médecine de faire le travail des politiques. Leur tâche consiste à communiquer de manière compréhensible, au mieux de leurs connaissances, les résultats et les idées de leurs recherches.

2) Au cours des presque trois heures passées à la Chambre des députés, nous avons par contre entendu toute une série de propositions de solutions concrètes et pratiques de la part des experts invités : par exemple, qu’il existe des médicaments efficaces grâce auxquels les médecins de famille peuvent veiller, en « première ligne », à ce que les malades ne doivent pas attendre chez eux sans traitement avant d’être mûrs pour l’hôpital. On pourrait ainsi éviter très facilement une surcharge potentielle des hôpitaux, où n’atterriraient que les personnes pour lesquelles le traitement initial ne fonctionne pas. Simultanément, ensemble et main dans la main, au lieu de « ou bien ou bien ». Il s’agissait donc ici très concrètement des protocoles controversés qui ne permettent justement pas aux médecins de faire cela. Les médicaments mentionnés étaient entre autres l’ivermectine, un produit utilisé avec succès dans différents pays. En outre, il a bien entendu été fait mention de l’hydroxychloroquine, un médicament présenté à tort comme inefficace dans le « Lancet-Gate« , dont il a également été question à la Chambre des députés, sans qu’il y ait eu par la suite de réhabilitation médiatique.

3) Il en découle naturellement d’autres solutions inhérentes : tout d’abord dans le domaine de la prévention et de ce pourquoi les politiciens sont en réalité payés : l’amélioration des infrastructures, par opposition à l’organisation hospitalière axée sur l’économie et l’efficacité. La réduction systématique des lits, un sujet brûlant, a également un caractère international.


Les événements de cette semaine s’inscrivent donc aussi de manière assez fortuite dans notre première critique de livre, publiée le vendredi 14 janvier.


Par ailleurs, nous avons à nouveau fait usage de notre « droit de réponse« , publié de nouvelles vidéos et bien d’autres choses encore.


Vous trouverez ici le lien vers le débat intégral à la Chambre des députés, ainsi qu’une interview du très humble et sympathique professeur Perronne, qui nous a rendu visite après son intervention à la Chambre des députés. L’interview a été réalisée par Kairospresse.


Enfin, nous remercions chaleureusement toutes les personnes qui nous confient leurs témoignages concernant les effets secondaires de la campagne de « vaccination » actuelle. Par ailleurs, est également très important que ceux-ci soient également déclarés officiellement à la Santé. Une statistique n’a, en effet, que la valeur des données qu’elle contient. Si vous ne voulez pas être oublié dans ces statistiques et que vous n’avez pas encore déclaré vos effets secondaires, vous pouvez le faire sur notre page (barre latérale droite). Un clic et vous serez déjà redirigé vers les formulaires correspondants. Vous y trouverez d’ailleurs aussi les statistiques officielles actuellement disponibles.